Une mosaïque de 36 éléments

Les Ripstick font le bonheur des skieurs les plus exigeants aux quatre coins du monde et prennent en confiance la mesure de tout terrain, quel que soit le style du skieur.

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A mosaic of 36 stones

À propos du produit
Les Ripstick font le bonheur des skieurs les plus exigeants aux quatre coins du monde et prennent en confiance la mesure de tout terrain, quel que soit le style du skieur.

Les Ripstick font le bonheur des skieurs les plus exigeants aux quatre coins du monde et prennent en confiance la mesure de tout terrain, quel que soit le style du skieur. On peut affirmer que ce sont des skis ludiques, dociles et simples, mais leur développement a exigé savoir, innovation, collégialité et persévérance.

Un ski est un machin passablement résistant. Il se met à l’œuvre alors que le soleil ne s’est pas encore levé. Il peut rester en dormance plus de la moitié de l’année, mais reprendre le collier avec vivacité dès la première neige. Il est alors prêt à se défoncer même au froid le plus mordant. Son endurance ne connaît pas de limites. Un ski peut être plié, tordu et torturé de toutes les manières sans jamais s’en plaindre. Rien ne peut l’empêcher de couper des courbes à court rayon, de boucler des virages même en pleine dérive, de faire un tout-droit dans un couloir ou de flotter dans la profonde. Les vrais skieurs savent apprécier sa loyauté. Ils lui font des gâteries à la cire chaude. Ils lui retapent la moindre avarie et c’est tout juste s’ils ne les caressent pas en leur chantant une berceuse, le soir, avant d’aller dormir. Et au petit matin, ils sont disposés à se défoncer à nouveau jusqu’à ce que le printemps fasse fondre toute la neige. Leur story serait une sorte de poème épique composé à la gloire du sport et à la symbiose des esprits de ces deux entités que sont l’humain et la matière constituant les skis.

Les skis peuvent aussi bien se révéler beaux et brillants que laids et inaptes. Certains peuvent même être envieux aussi, parce que d’autres réussissent à faire tout ce que leur commande le skieur, alors que d’autres encore ont beau fanfaronner, ils rendent les armes après un court moment de gloire…

« J’étais vraiment très impressionné : ces skis étaient puissants et réactifs… je n’en revenais pas !» Glen Plake

Des fats aux talents variés

Tout ce qui précède s’avère exact en ce qui concerne la gamme Ripstick d’Elan. Ces skis fats sont offerts en largeurs au patin variant de 88 à 116 millimètres et ont été conçus principalement pour fendre de la poudreuse. Les plus larges assurent suffisamment de portance pour bien flotter sur les neiges les plus légères et les plus profondes. Et leur forme latérale prononcée assure aussi un rendement impressionnant sur piste damée. « Quand j’ai pour la première fois pris en mains une paire de skis Ripstick, j’étais quelque peu sceptique, du fait de leur étonnante légèreté, qui m’apparaissait trop grande. Et quand je les ai déposés sur la neige, j’ai même été intrigué par le son qu’ils ont produit. Mais dès les premiers virages, mes doutes se sont dissipés. J’étais vraiment très impressionné : ces skis étaient puissants et réactifs… je n’en revenais pas ! », déclare Glen Plake, l’un des plus grands freeriders de tous les temps, à propos de sa première rencontre avec les Ripstick, qui sont devenus depuis ses meilleurs amis.

Soyez assuré qu’aucune de leurs impressionnantes caractéristiques ne soit le résultat d’un coup de chance. Les ingénieurs d’Elan ont au fil des ans étonné encore et encore le milieu de ski tout autant qu’ils ont ravi les skieurs par leurs innovations. Mais il faut savoir que le défi qui leur a été présenté au moment de la conception des Ripstick a exigé d’eux de creuser au plus profond de leurs connaissances et de puiser dans tout l’arsenal issu de leur expérience. Et comme aucune solution existante ne répondait pleinement au cahier des charges, ils ont alors eu recours à ce qu’ils font de mieux : inventer de nouvelles solutions en pensant différemment. Pour en arriver à quelque chose qui n’a jamais existé, il n’y a guère d’autre voie que de démarrer d’une page blanche.

Design innovant

« Créer un ski léger n’est pas si sorcier. Mais concevoir un ski léger sans compromettre d’aucune façon son rendement est une tout autre histoire. Il faut sélectionner avec soin les matériaux et les disposer de manière stratégique. Que de retirer du matériel en une section suppose d’en apposer ailleurs de manière à en compenser l’effet », selon Marko Kozjek, l’un des ingénieurs-en-chef chez Elan et le cerveau derrière plusieurs des innovations et des solutions qui ont fait que les skis produits à Begunje se classent parmi les meilleures choix de nombre de skieurs de par le monde. « Il ne fait pas de doute que les skis de course se révèlent être les meilleurs en termes de rendement, mais ils sont lourds. Des skis destinés à un ski de loisir en diffèrent largement en cela que la réduction du poids est une caractéristique très désirable. Cela dit, les skis ne doivent pas non plus être trop légers. Nous croyons qu’un ski de loisir doit minimalement peser environ un bon kilo. Le poids d’un ski lui donne un certain momentum qui lui permet de bien assurer la transition d’un virage à l’autre et en quelque sorte de ‘percer’ la neige. Les tendances actuelles dans la fabrication de skis vont dans le sens de la réduction du poids en assemblant des matériaux qui optimisent leur rendement », ajoute l’ingénieur Kozjek.

Dans le cas des skis de course, le poids n’est pas un facteur déterminant. Mais les skis de freeride tels que les Ripstick imposent de trouver des solutions en cette matière étant donné leur largeur. Dans la fabrication de skis, on ne doit pas considérer strictement que les matériaux, mais encore leur placement sur le ski, qui est de grande importance. Des calculs précis doivent être complétés afin de créer, de concert avec le noyau, le type de flexion le mieux indiqué.

ski productionski production
ski productionski production

Différents facteurs contribuent à faire des Ripstick des skis aussi performants. « En tout premier lieu, le facteur déterminant reste la forme latérale du ski. Nous avons expérimenté un large éventail d’options pour en arriver à la solution optimale. Tout d’abord, les spatules sont conçues de manière à assurer l’engagement du ski dans la courbe sans vibration excessive, ni non plus de tendance à plonger. Il faut aussi s’assurer que les skis présentent une forme latérale conséquente afin de permettre une évolution sur neige qui soit à la fois véloce et bien contrôlée sur des surfaces damées ou durcies. Le profil Amphibio qui rehausse la spatule assure la portance en neige profonde, tout aussi bien qu’une accroche sur des surfaces durcies. La légèreté de ces skis est attribuable à leur noyau super-léger en peuplier renforcé de tubes de carbone qui contribuent non seulement à la flexibilité, mais aussi à la vivacité. En termes techniques, nous avons réussi à augmenter le module d’élasticité de ces skis. Cette utilisation du carbone se révèle être particulièrement efficace, d’autant plus que la fibre de carbone classique a tendance à fendiller quand les skis sont fléchis à leur maximum. Dans ce cas-ci, le carbone n’est pas la principale couche porteuse et sa structure tubulaire, placée à l’intérieur du noyau de bois, confère à l’ensemble un contrôle exceptionnel de la flexibilité. »

Le profil Amphibio avec son rocker vient donc contribuer de façon importante au bon comportement du ski. « Comme la spatule doit assurer une bonne portance, elle doit être superlégère pour se mettre à flotter sur la neige le plus tôt possible et ainsi assurer aisément le contrôle du ski. C’est pourquoi nous avons retiré du matériel de la spatule pour le remplacer par des fibres de mousse ‘Vapor Tip’ afin d’atteindre une bonne rigidité pour un poids minimal. Le côté rocker de l’Amphibio aboutit aussi à un rayon bien précis en spatule, ce qui permet au ski de bien s’engager en neige poudreuse, comme en profonde », explique encore Marko Kozjek.

36 éléments constituants

Chaque modèle de la gamme Ripstick est constitué de 36 éléments. La semelle du ski est bordée de part et d’autre de carres métalliques. Entre les carres, une première couche porteuse est placée puis, une seconde couvre la première et les carres. Les côtés sont ensuite apposés : ce sont les chants entre lesquels vient se placer le noyau de bois qui, dans le cas des Ripstick, est paré de tubes de carbone placés au-delà des carres sur toute la longueur du ski. Le noyau bois est ensuite couvert de couches de fibre de verre disposées de façon longitudinale et d’autres fibres tressées disposées, elles, de manière transversale, ce qui, de concert avec les couches sous le noyau, déterminent les caractéristiques du ski en matière de rigidité et de résistance à la torsion. La zone de montage des fixations se trouve de plus dotée de couches supplémentaires de fibre de verre pour une plus grande résistance. Seule une solide connexion entre les fixations et les skis peut garantir une bonne transmission des sensations et la meilleure sécurité. Un renfort suffisant sous les fixations revêt la plus grande importance dans le cas de skis super-légers comme les Ripstick. Enfin, la toute dernière couche est le dessus, qui est orné d’un décor qui se veut attrayant.

Une symphonie d’ingénierie

Bien entendu, ces 36 éléments ne fonctionnent bien ensemble que s’ils sont assemblés soigneusement. C’est là où interviennent l’expérience, le souci du détail, les connaissances et l’habileté des artisans d’Elan. Leur attention, leur précision manuelle et leur amour du travail bien fait rendent ainsi possible d’atteindre la perfection dans les virages et, de ce fait, des journées à skis tout à fait inoubliables. Le Ripstick inspire la confiance en toutes circonstances par son très haut niveau de rendement, procurant aux skieurs les plus exigeants la joie et l’énergie qui leur permet d’accéder, toujours, à de bons moments.

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A mosaic of 36 stones

Les Ripstick font le bonheur des skieurs les plus exigeants aux quatre coins du monde et prennent en confiance la mesure de tout terrain, quel que soit le style du skieur. On peut affirmer que ce sont des skis ludiques, dociles et simples, mais leur développement a exigé savoir, innovation, collégialité et persévérance.

Un ski est un machin passablement résistant. Il se met à l’œuvre alors que le soleil ne s’est pas encore levé. Il peut rester en dormance plus de la moitié de l’année, mais reprendre le collier avec vivacité dès la première neige. Il est alors prêt à se défoncer même au froid le plus mordant. Son endurance ne connaît pas de limites. Un ski peut être plié, tordu et torturé de toutes les manières sans jamais s’en plaindre. Rien ne peut l’empêcher de couper des courbes à court rayon, de boucler des virages même en pleine dérive, de faire un tout-droit dans un couloir ou de flotter dans la profonde. Les vrais skieurs savent apprécier sa loyauté. Ils lui font des gâteries à la cire chaude. Ils lui retapent la moindre avarie et c’est tout juste s’ils ne les caressent pas en leur chantant une berceuse, le soir, avant d’aller dormir. Et au petit matin, ils sont disposés à se défoncer à nouveau jusqu’à ce que le printemps fasse fondre toute la neige. Leur story serait une sorte de poème épique composé à la gloire du sport et à la symbiose des esprits de ces deux entités que sont l’humain et la matière constituant les skis.

Les skis peuvent aussi bien se révéler beaux et brillants que laids et inaptes. Certains peuvent même être envieux aussi, parce que d’autres réussissent à faire tout ce que leur commande le skieur, alors que d’autres encore ont beau fanfaronner, ils rendent les armes après un court moment de gloire…

« J’étais vraiment très impressionné : ces skis étaient puissants et réactifs… je n’en revenais pas !» Glen Plake

Des fats aux talents variés

Tout ce qui précède s’avère exact en ce qui concerne la gamme Ripstick d’Elan. Ces skis fats sont offerts en largeurs au patin variant de 88 à 116 millimètres et ont été conçus principalement pour fendre de la poudreuse. Les plus larges assurent suffisamment de portance pour bien flotter sur les neiges les plus légères et les plus profondes. Et leur forme latérale prononcée assure aussi un rendement impressionnant sur piste damée. « Quand j’ai pour la première fois pris en mains une paire de skis Ripstick, j’étais quelque peu sceptique, du fait de leur étonnante légèreté, qui m’apparaissait trop grande. Et quand je les ai déposés sur la neige, j’ai même été intrigué par le son qu’ils ont produit. Mais dès les premiers virages, mes doutes se sont dissipés. J’étais vraiment très impressionné : ces skis étaient puissants et réactifs… je n’en revenais pas ! », déclare Glen Plake, l’un des plus grands freeriders de tous les temps, à propos de sa première rencontre avec les Ripstick, qui sont devenus depuis ses meilleurs amis.

Soyez assuré qu’aucune de leurs impressionnantes caractéristiques ne soit le résultat d’un coup de chance. Les ingénieurs d’Elan ont au fil des ans étonné encore et encore le milieu de ski tout autant qu’ils ont ravi les skieurs par leurs innovations. Mais il faut savoir que le défi qui leur a été présenté au moment de la conception des Ripstick a exigé d’eux de creuser au plus profond de leurs connaissances et de puiser dans tout l’arsenal issu de leur expérience. Et comme aucune solution existante ne répondait pleinement au cahier des charges, ils ont alors eu recours à ce qu’ils font de mieux : inventer de nouvelles solutions en pensant différemment. Pour en arriver à quelque chose qui n’a jamais existé, il n’y a guère d’autre voie que de démarrer d’une page blanche.

Design innovant

« Créer un ski léger n’est pas si sorcier. Mais concevoir un ski léger sans compromettre d’aucune façon son rendement est une tout autre histoire. Il faut sélectionner avec soin les matériaux et les disposer de manière stratégique. Que de retirer du matériel en une section suppose d’en apposer ailleurs de manière à en compenser l’effet », selon Marko Kozjek, l’un des ingénieurs-en-chef chez Elan et le cerveau derrière plusieurs des innovations et des solutions qui ont fait que les skis produits à Begunje se classent parmi les meilleures choix de nombre de skieurs de par le monde. « Il ne fait pas de doute que les skis de course se révèlent être les meilleurs en termes de rendement, mais ils sont lourds. Des skis destinés à un ski de loisir en diffèrent largement en cela que la réduction du poids est une caractéristique très désirable. Cela dit, les skis ne doivent pas non plus être trop légers. Nous croyons qu’un ski de loisir doit minimalement peser environ un bon kilo. Le poids d’un ski lui donne un certain momentum qui lui permet de bien assurer la transition d’un virage à l’autre et en quelque sorte de ‘percer’ la neige. Les tendances actuelles dans la fabrication de skis vont dans le sens de la réduction du poids en assemblant des matériaux qui optimisent leur rendement », ajoute l’ingénieur Kozjek.

Dans le cas des skis de course, le poids n’est pas un facteur déterminant. Mais les skis de freeride tels que les Ripstick imposent de trouver des solutions en cette matière étant donné leur largeur. Dans la fabrication de skis, on ne doit pas considérer strictement que les matériaux, mais encore leur placement sur le ski, qui est de grande importance. Des calculs précis doivent être complétés afin de créer, de concert avec le noyau, le type de flexion le mieux indiqué.

ski productionski production
ski productionski production

Différents facteurs contribuent à faire des Ripstick des skis aussi performants. « En tout premier lieu, le facteur déterminant reste la forme latérale du ski. Nous avons expérimenté un large éventail d’options pour en arriver à la solution optimale. Tout d’abord, les spatules sont conçues de manière à assurer l’engagement du ski dans la courbe sans vibration excessive, ni non plus de tendance à plonger. Il faut aussi s’assurer que les skis présentent une forme latérale conséquente afin de permettre une évolution sur neige qui soit à la fois véloce et bien contrôlée sur des surfaces damées ou durcies. Le profil Amphibio qui rehausse la spatule assure la portance en neige profonde, tout aussi bien qu’une accroche sur des surfaces durcies. La légèreté de ces skis est attribuable à leur noyau super-léger en peuplier renforcé de tubes de carbone qui contribuent non seulement à la flexibilité, mais aussi à la vivacité. En termes techniques, nous avons réussi à augmenter le module d’élasticité de ces skis. Cette utilisation du carbone se révèle être particulièrement efficace, d’autant plus que la fibre de carbone classique a tendance à fendiller quand les skis sont fléchis à leur maximum. Dans ce cas-ci, le carbone n’est pas la principale couche porteuse et sa structure tubulaire, placée à l’intérieur du noyau de bois, confère à l’ensemble un contrôle exceptionnel de la flexibilité. »

Le profil Amphibio avec son rocker vient donc contribuer de façon importante au bon comportement du ski. « Comme la spatule doit assurer une bonne portance, elle doit être superlégère pour se mettre à flotter sur la neige le plus tôt possible et ainsi assurer aisément le contrôle du ski. C’est pourquoi nous avons retiré du matériel de la spatule pour le remplacer par des fibres de mousse ‘Vapor Tip’ afin d’atteindre une bonne rigidité pour un poids minimal. Le côté rocker de l’Amphibio aboutit aussi à un rayon bien précis en spatule, ce qui permet au ski de bien s’engager en neige poudreuse, comme en profonde », explique encore Marko Kozjek.

36 éléments constituants

Chaque modèle de la gamme Ripstick est constitué de 36 éléments. La semelle du ski est bordée de part et d’autre de carres métalliques. Entre les carres, une première couche porteuse est placée puis, une seconde couvre la première et les carres. Les côtés sont ensuite apposés : ce sont les chants entre lesquels vient se placer le noyau de bois qui, dans le cas des Ripstick, est paré de tubes de carbone placés au-delà des carres sur toute la longueur du ski. Le noyau bois est ensuite couvert de couches de fibre de verre disposées de façon longitudinale et d’autres fibres tressées disposées, elles, de manière transversale, ce qui, de concert avec les couches sous le noyau, déterminent les caractéristiques du ski en matière de rigidité et de résistance à la torsion. La zone de montage des fixations se trouve de plus dotée de couches supplémentaires de fibre de verre pour une plus grande résistance. Seule une solide connexion entre les fixations et les skis peut garantir une bonne transmission des sensations et la meilleure sécurité. Un renfort suffisant sous les fixations revêt la plus grande importance dans le cas de skis super-légers comme les Ripstick. Enfin, la toute dernière couche est le dessus, qui est orné d’un décor qui se veut attrayant.

Une symphonie d’ingénierie

Bien entendu, ces 36 éléments ne fonctionnent bien ensemble que s’ils sont assemblés soigneusement. C’est là où interviennent l’expérience, le souci du détail, les connaissances et l’habileté des artisans d’Elan. Leur attention, leur précision manuelle et leur amour du travail bien fait rendent ainsi possible d’atteindre la perfection dans les virages et, de ce fait, des journées à skis tout à fait inoubliables. Le Ripstick inspire la confiance en toutes circonstances par son très haut niveau de rendement, procurant aux skieurs les plus exigeants la joie et l’énergie qui leur permet d’accéder, toujours, à de bons moments.